Partir travailler à l’étranger

Partir travailler à l’étranger, quelles barrières ?

Alors que la croissance des économies occidentales ralentit et que celles de certains pays connait un succès florissant, l’émigration économique connait un succès certain. Construire un projet d’expatriation pour aller travailler à l’étranger doit cependant être mûrement réfléchi. Loin de l’image d’Eldorado que véhiculent certains pays, les barrières de la langues, mais aussi de la culture et des méthodes de travail ne sont pas à sous-estimer. Les expatriés sur le départ doivent donc être conscient de ce travail d’adaptation qui va leur être imposé, et peuvent s’y préparer en s’immergeant en milieu interculturel, se renseigner à l’avance sur les manières à observer dans le pays destination et adopter quelques repères « de secours » avant le départ. Les communautés francophones sur place facilitent généralement ces démarches.

Quelles démarches administratives ?

Les démarches administratives à suivre sont spécifiques à chaque pays. On distinguera cependant les démarches propres à l’émigration intracommunautaires, c’est-à-dire d’un ressortissant de l’Union européenne vers un pays de l’UE, et l’émigration extracommunautaire. Dans le premier cas les démarches à accomplir sont relativement simple puis qu’aucun visa n’est requis. Dans la plupart des cas, l’expatrié devra simplement signaler sont entrée sur le territoire et s’affranchir de quelques obligations légales (assurance santé et/ou de véhicule, inscription au registre des impôts). Dans le second cas, il faudra en revanche se renseigner sur les prérequis propres à l’immigration dans chaque pays, obtenir un visa, puis s’affranchir des obligations légales de base. Une chose reste certaine: émigrer en Allemagne ou au Canada ne relève pas du même niveau de difficulté!

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